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Faunabetse
17 janvier 2016

Muse et zique

Il est seize heures.
Le casque sur la tête.
Le son trop fort, pour entendre les bruits qui n’y sont pas.
Du Muiouse dans les oreilles.
Allongé dans le lit. Mes yeux se ferment.
Le rythme est calme, mon cœur ralenti.

Mon sommeil absent, arrive vite.
Je commence à m’endormir, lentement.
Pas encore dans mon sommeil, le rêve est là, déjà commencé.
Mon cœur ralenti, encore, mon souffle le suit.

La chanson change, le rythme aussi.
Je m’éveille avec lui, me rappelant de ce petit bout de rêve déjà commencé.

Le son monte.
Le rythme de la basse joue celui de mon cœur.
Ma tête ce ballade, droite, gauche.
Génial ce morceau.

Mes yeux trop faibles, pour voir le titre, restent fermés.
Pas très important, je réécouterai l’album, en entier.
Pour, encore avoir ce petit bout, d’érection, qu’il m’apporte.

Le titre ce termine pour laisser place au suivant.
Trop épuisé, je m'endors.
Je m’endors, avant le premier mot.
Le rythme me reste en tête, il berce mon rêve, qui lui continue.

Le rêve du jour où, je t’ai rencontré.
La pression montante, empêche mes mots de s’écrire seul.
Ils ont besoin de rester fermé un moment.
Bonne nuit.

Le froid monte.
L’eau bouillonnante coule dans la vide tasse.
Elle attend son sachet, de thé, chaud. Un aux fruits rouge ou un à la menthe ou...
Il réchauffera ce corps froid.
Enfin, peut-être il pourra dormir, une heure.Ou deux, si un morceau de sucre, accompagne la cuillère. Trop courte, pour cette tasse vide.

Tremblant, le sourire, me rassure.
Je m’apaise. Et fini par succomber un court instant.
Un bruit me réveil, un autre encore.
Le bruit de notifs.
Il est vingt heures trente.
J’ai faim.
Allô pizzas ! Un couscous pour vingt et un.
Pas le temps, le bruit recommence.
Twitter m'appelle.
Je cours,
j’arrive,
sans faim.

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