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Faunabetse
25 septembre 2015

Un texte, des artistes, des photos

J'ai envie d'écrire, mais je ne sais sur quoi encore. Cette fois tout est inspiration.

Je pense au phare (far j'ai faim) du breton, à l'insomnie de la fillette, à la tristesse ressentie de mon homonyme. A l'homme qui me manque à chaque clignement de paupière. A tout ça.

Je vois par moment les couleurs vives des photos de "La couleur des sentiments...". Elles m'apportent beaucoup d'énergie et de réconfort. Quand je me sens mal je sais ou aller, une simple visite sur cette page et mon cœur ce rempli de ces couleurs. Elles sont réconfortantes, elles sont apaisement détente. J'aime aussi aller voir ces photos noir et blanc du "Cimetière du Rosais" et du "Rocher de Bizeux" ces photos que je vais voir souvent, très souvent pas tous les jours mais presque. Elles me remplissent de sentiments, elles bouleversent mes émotions. En me dirigeant vers ces pages je sais à l'avance que mes yeux ne tiendront pas, mais c'est bien plus fort que moi. Je ne sais pas pourquoi, j'y vais. Une des photos à déjà écrit un texte, le texte, celui qui m'a donné envie de continuer, celui qui a tout lancé, celui que jamais je ne lirais, il n'est plus à moi, je l'ai offert et j'en suis très heureux.

Un #mp m'a coupé mon inspiration, dommage, mais pas grave il était superbe. J'aime bien les #mp avec certaines personnes, ils m'aident beaucoup. J'aimerais en avoir plus avec certaine personne.

J'ai perdu mes pensées mais pas mon envie. Je vais faire un petit tour sur mes blogs préféré et je reviens de suite après.

Une photo que j'aime bien "River". J'y vois un pont qui commence à avoir peur de se noyer. Je ne devrais pas me sentir bien devant cette vision et pourtant elle m'apaise. Il se noie sans mouvement, sans bruit. Tout ce passe devant un couple qui ne voit rien, qui ne dit rien. Comme si cela était normal, comme si voire un pont se noyer le quotidien de ces deux-là. Le ciel, lui commence quand même un peu à avoir peur, il se grise pour alerter la population, mais personne ne l'entend, personne ne veut le voir. C'est bien triste dans cette belle ville. Rien ne bouge, tout est figer, si ne n'est que les vagues qui noient le pont et les nuages qui s'agitent devant ce couple immobile. Il sait ce qui arrive, il pourrait partir en courant mais il préfère rester fort et ne pas bouger. Ces pieds sont encrés au fond du lit, ils ne bougeront pas même sous la pression de ces vagues. Ils vaincront ensemble, ils le savent. Ils sont un exemple à suivre.

J'ai envie de continuer, des heures je pense, je pourrais écrire ces textes interminable. Parfois en les écrivant je pense aux personnes qui vont les lires, oui à toi ! Tu n'es pas nombreux ! Et cela me va, mon écriture n'est pas là pour être lu mais pour être exprimer.

Mais comme aujourd'hui je ne l'ai écrit que quatre-vingt-dix-neuf fois, je vais l'écrire encore une fois en pensant particulièrement à toi. Juste pour l'avoir dit cent fois avant mon repas. Merci.

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Commentaires
M
l y a encore beaucoup à partarger :-)
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